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CSUO 2024 sera une conférence extraordinaire ! Découvrez nos orateurs principaux ci-dessous
Gagnants de l'Elevator Pitch de l'UOHS 2018
PRIX DE $200
PRIX DE 150$
Absent sur la photo : Christine Saleeb
PRIX DE $100
Ryan Sandarage
UOHS 2018 - Gagnant du 1er prix Elevator Pitch
ABSTRAIT
L'accident vasculaire cérébral (AVC) est une maladie dévastatrice qui touche quinze mille Canadiens chaque année. Les traitements actuels sont encore inefficaces pour réparer les lésions cérébrales causées par l'AVC. Notre objectif est de restaurer des cellules cérébrales saines et d'améliorer la qualité de vie des survivants d'un accident vasculaire cérébral. Nous développons un traitement qui fournit des ressources pour stimuler les propres cellules souches du cerveau, les cellules souches/progénitrices neurales endogènes (eNSPC), et constitue une thérapie prometteuse pour réparer et restaurer les fonctions cérébrales après un accident vasculaire cérébral. Les traitements actuels qui délivrent des facteurs de croissance dans des modèles animaux d'accidents vasculaires cérébraux stimulent les cellules souches neurales endogènes et augmentent les taux de survie. Cependant, ces traitements ne peuvent pas être appliqués à l'homme car ils nécessitent des interventions chirurgicales extrêmement invasives et potentiellement mortelles. C'est pourquoi nous avons mis au point un biomatériau libérant des facteurs de croissance, facile à implanter dans le cadre d'une procédure chirurgicale de routine pratiquée sur des patients humains ayant subi un AVC. Notre biomatériau libère des facteurs de croissance dont il a été établi dans des modèles animaux qu'ils favorisent la réparation des tissus et la récupération fonctionnelle après un accident vasculaire cérébral. Nous démontrons que notre biomatériau est efficace pour délivrer des facteurs de croissance afin de promouvoir la croissance des eNSPC et que le biomatériau implanté est cliniquement applicable chez les rats après un accident vasculaire cérébral.
Vanessa Cservid & Christine Saleeb
UOHS 2018 - Gagnant du 2e prix Elevator Pitch
ABSTRAIT
Les pièces d'équipement partagées et non critiques qui touchent le patient, telles que les brassards de tensiomètre, les thermomètres, les oxymètres de pouls et les stéthoscopes, sont souvent négligées en raison de leur rôle de réservoir potentiel d'infections nosocomiales. Ce projet vise à améliorer la sécurité des patients en renforçant la propreté des pièces d'équipement non critiques qui touchent le patient, notamment les brassards de tensiomètre, les thermomètres, les oxymètres de pouls et les stéthoscopes situés dans le service des urgences d'un hôpital communautaire du sud de l'Ontario. Des cycles Plan Do Study Act (PDSA) et des groupes de discussion ont été utilisés pour créer une intervention comprenant une sensibilisation lors des audits et des réunions du personnel, du matériel éducatif (affiches et vidéos) ainsi que l'accessibilité des produits de nettoyage (lingettes désinfectantes). Pour contrôler et évaluer la propreté de l'équipement, des audits de l'adénosine triphosphate (ATP) (N=732) ont été réalisés et des cycles PDSA ont été utilisés pour étudier et identifier les obstacles et les facteurs facilitant le processus de nettoyage. Les facteurs comprenaient les identifiants structurels/l'emplacement, le volume de patients et la charge de travail, ainsi que la distinction des tâches entre les infirmières et les services environnementaux. L'évaluation des interventions se fera par le biais des valeurs d'audit ATP axées sur les unités de lumière relative inférieures à 10. Ce projet en cours permettra d'identifier les interventions qui réduisent efficacement les valeurs d'audit ATP, tout en sensibilisant à la propreté du matériel de soins aux patients.
George Liu
UOHS 2018 - Gagnant du 3ème prix Elevator Pitch
ABSTRAIT
Des études récentes démontrent qu'environ 90 % de la mort des cellules CD4 associée au VIH est causée par la pyroptose des cellules non infectées plutôt que par l'apoptose des cellules infectées. Cette cascade pro-inflammatoire se manifeste le plus fortement dans les tissus lymphoïdes, où les concentrations de VIH et de cellules CD4 sont particulièrement élevées. Le traitement actuel du VIH utilise des médicaments chimiques pour inhiber la réplication virale. Cependant, avec un nombre élevé de virus produits par cellule infectée, associé aux nombreuses mutations associées au mécanisme de transcriptase inverse du VIH, le VIH s'adapte incroyablement bien aux médicaments actuels. La recherche proposée vise à développer une « cellule CD4 leurre », dont la membrane contiendrait toujours les protéines et les récepteurs caractéristiques des cellules CD4, mais qui serait dépourvue des organites fondamentaux nécessaires à la réplication du VIH. Ainsi, le VIH continuerait à infecter les cellules leurres, mais serait rendu inoffensif lors de l'infection. Dans tout l'organisme, les cellules-leurres fonctionneraient comme des éponges in situ pour absorber de grandes portions du VIH et permettre le rétablissement fonctionnel des niveaux de cellules CD4. Pour mettre au point la cellule-leurre, on étudiera d'abord les mécanismes qui permettent aux érythrocytes de se débarrasser de leur noyau et de leurs ribosomes. Ensuite, par thérapie génique, ces mécanismes pourraient être incorporés dans les cellules CD4. L'efficacité à contenir le VIH serait alors examinée in vitro, puis analysée in vivo sur un modèle de souris, et enfin dans le cadre d'essais cliniques.
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